L’imagination de Coleridge à Baudelaire : positivement apparentée avec l’infini

Locatelli, Federica
2016-01-01

2016
Le Salon de 1859 de Charles Baudelaire apparaît comme un texte emblématique pour comprendre les sources dont le fondateur du Symbolisme français s’est inspiré dans l’élaboration de sa propre théorie concernant les pouvoirs de l’imagination : en suivant les traces dont l’écrivain parsème son Salon, nous rendrons compte de l’origine de la conception baudelairienne qui remonte jusqu’aux présupposés établis par le Romantisme anglais et allemand. Ensuite, nous verrons comment Baudelaire renouvelle un riche patrimoine théorique, appris directement et indirectement à travers sa formation culturelle et son travail de traducteur, inaugurant une conception originale de l’art imaginatif, un art “positivement apparenté avec l’infini”, et une “rhétorique des correspondances”, qui ouvre à une nouvelle pensée du signe poétique.
Baudelaire
Poe
Crowe
Coleridge
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Utilizza questo identificativo per citare o creare un link a questo documento: https://hdl.handle.net/20.500.14087/6043
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